Encore et Angkor
Nathalie Léger-Cresson

Nathalie Léger-Cresson est née à Paris. Elle passe quatre ans dans les champs au Mexique pour son doctorat en biologie, puis écrit. Elle publie d’abord pour la jeunesse. Autrice d’une pièce de théâtre et de fictions radiophoniques pour France Culture, elle anime des ateliers d’écriture, notamment à l’École de la deuxième chance de Seine- Saint-Denis. Ses trois derniers livres Encore et Angkor (2012), Hélice à deux (2014) et À vous qui avant nous vivez (2018) ont été publiés aux éditions des femmes-Antoinette Fouque.

Nathalie Léger-Cresson

Nathalie Léger-Cresson

Encore et Angkor

Prix : 12 €

Encore et Angkor, un titre joueur et grave, où vibrent la nostalgie et la promesse, le désir charnel, le passé et l’avenir de notre espèce. Un sommaire énigmatique en guise de carte d’état-major, et le voyage commence. D’abord sous le signe d’une transmission mère, fille, mère… Puis nous voilà entraînés dans une traversée où surgissent fragments poétiques, récits, scènes familières ou incongrues : mouvements d’une vie, de femme, qui trouvent leurs échos dans l’Histoire, jusqu’à l’utopie d’une migration de notre monde vers une terre nouvelle. Au centre, la visite d’Angkor, splendeur insaisissable mais entrouverte par un guide écrit à la manière des anciens archéologues. Pour la promeneuse s’y réfléchissent tous les regrets, tous les élans.

  • 2012
  • 72 p.
  • 12 €
  • EAN 9782721006196

La Presse en parle

« Dans ce texte nouveau, bref et claquant mais jamais clinquant, il y a du jeu, de la gravité. Des promesses, une belle nostalgie. Et puis aussi des interrogations sur l’espèce humaine, sur le désir charnel… Sur le mode transmission mère-fille, défilent des instants de grâce, de poésie […] Récit-voyage, récit-montage, Encore et Angkor est l’espoir (in)avoué d’une migration d’un monde, la destination d’une terre nouvelle là où régneraient libération et confiance. Là, peut-être dans les ruines du temple d’Angkor, entre ruines de pierres du passé et végétation verte et vivante… »

Serge Bressan, Le Quotidien, 28 mars 2012

Bibliographie